La Soka Gakkai vient du Japon et elle figure parmi les nouvelles religions. Selon certaines idées, il s’agit d’un mouvement religieux qui est le successeur du bouddhisme de Nichiren. Depuis quelques années, il est possible de réaliser des cérémonies funéraires, des cérémonies religieuses et des mariages par les ministres du culte. En 1964, le troisième président va créer un parti politique. Face aux critiques et à l’opinion publique, il y a une séparation officielle pour donner deux structures. Au Japon, elle est souvent considérée comme une dérive sectaire. Une pratique qui se base sur le shakubuku (mais, elle s’est adouci au fil du temps).
Quel est l’origine de la Soka Gakkai ?
La Soka Gakkai est une pratique religieuse du Japon. Il est important d’accomplir cette pratique deux fois par jour. Face à l’objet culte ou le Gohonzon, elle consiste à faire une récitation ou à lire les extraits du Sûtra de Lotus. La soka gakkai a pour but d’instaurer la paix mondiale. En effet, les membres et les pratiquants doivent faire des réunions pour discuter et étudier les textes de Daisaku Ikeda.
Il s’agit d’une association internationale à but non lucratif. Vous pouvez compter 192 pays avec d’autres territoires pour les zones d’influences. Une fondation japonais créée en 1930 et le siège se trouve à Shinjuku Tokyo. Actuellement, il est possible de compter jusqu'à 12 millions de membres. Dans l’association, il est possible de trouver des auteurs japonais et occidentaux. Quoi qu’il en soit, sachez que dans une pratique, il y a toujours des côtés positifs et des côtés négatifs.
Quels sont les objectifs de cette pratique ?
La soka gakkai est une pratique très célèbre dans le monde. Elle possède une méthode pédagogique empirique. Le but est de faire passer aux enfants la philosophie créatrice des valeurs. Les successeurs doivent faire respecter la quête spirituelle. En effet, la personne qui se converti en bouddhisme de la Nichiren doit avoir la vision du bouddhisme. Pendant la deuxième guerre mondiale, le Tsunesaburo est reconnu comme le symbole du shintoïsme d’Etat. Après la perte humaine de 1945 au Japon, il y a eu l’instauration de la liberté religieuse. Alors, Josei tente de reconstruire l’organisation pour recréer les valeurs et les missions du Soka Gakkai. En fait, les fondateurs veulent faire connaitre cette pratique religieuse laïque. En 1955, des candidats pratiquants attire l’attention du publique sur son entrée dans la politique. En France, vous pouvez trouver aussi de nombreux pratiquants de cette religion.
Que faut-il savoir sur la sokka gakkai ?
Dans le bouddhiste, la sokka gakkai est l’une des premières confessions au Japon. Vous pouvez remarquer une importante croissance exponentielle du nombre de foyers qui pratique cette religion au Japon et dans le monde. Une institution qui touche le domaine culturel, le domaine artistique et le domaine pédagogique. En 1983, la pratique obtient un statut auprès de l’ONU grâce aux personnalités politiques célèbres qui sont des pratiquants. La terminologie bouddhique vise à protéger les droits de l’Homme. Les pratiquants veulent également protéger et acquérir les droits sociaux fondamentaux. En effet, la volonté d’instaurer des relations diplomatiques et la mise en place des actes nobles pour le bien de la population sont les principaux objectifs des politiciens qui pratique la soka gakkai.